samedi, avril 20, 2024
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Delhi HC refuse de suspendre l’enquête de la Commission de la concurrence sur la politique de confidentialité de WhatsApp

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New Delhi: La Haute Cour de Delhi a refusé de suspendre l’avis de la Commission indienne de la concurrence (CCI) demandant à Facebook et WhatsApp de fournir certaines informations concernant une enquête ordonnée par elle sur la nouvelle politique de confidentialité de l’application de messagerie instantanée.

Un banc de vacances des juges Anup Jairam Bhambhani et Jasmeet Singh a déclaré qu’une demande de suspension des étapes supplémentaires de l’enquête avait été déposée dans laquelle un avis avait été adressé au directeur général de la CCI et qu’aucune mesure provisoire n’avait été donnée par le banc de la division le 6 mai. . Il est inscrit pour examen le 9 juillet.

« Nous constatons également qu’il existe un chevauchement substantiel, en fait une quasi-identité, entre les prières faites dans… (demande antérieure) et celles faites dans la présente demande. Pour la raison qui précède, nous ne considérons pas approprié de suspendre le l’opération de l’avis attaqué en date du 4 juin, à ce stade », a indiqué la magistrature dans son ordonnance rendue le 21 juin et rendue disponible mercredi.

Le tribunal a déclaré qu’il ne faisait aucun doute que l’avis de juin du DG est une étape dans la poursuite de l’enquête ouverte dans l’affaire suo motu conformément à l’ordonnance du 24 mars, qui fait l’objet de la contestation dans les présents appels.

Dans leurs nouvelles requêtes déposées dans les recours pendants, Facebook et WhatsApp ont demandé la suspension des avis de la CCI leur demandant de fournir certaines informations pour l’enquête menée par celle-ci. Les avis ont été envoyés à WhatsApp et Facebook respectivement les 4 et 8 juin.

L’affaire concerne les appels de Facebook et WhatsApp contre une ordonnance d’un juge unique rejetant leurs plaidoyers contre l’enquête ordonnée par CCI dans la nouvelle politique de confidentialité de l’application de messagerie instantanée.

Le 6 mai, la Haute Cour avait publié des avis sur les appels et demandé au Centre d’y répondre.

La Haute Cour, dans son ordonnance du 21 juin, a noté que les Solicitor Generals supplémentaires (ASG) Aman Lekhi et Balbir Singh, représentant CCI, ont fait valoir que, bien que l’émission soit parfaitement conforme à la procédure envisagée dans le statut pour faire avancer une procédure en cours enquête, qui n’a pas été suspendue par la chambre de division, il faudrait un temps considérable pour préparer un rapport après la réception des informations demandées.

Une fois le rapport préparé, il serait ensuite transmis à la CCI, ont-ils précisé, précisant que la préparation du rapport ne serait pas achevée au moins avant la prochaine date d’audience devant le banc de la division de l’effectif le 7 juillet.

« Prenant note de… la déclaration (de Lekhi et Singh) comme ci-dessus, nous demandons seulement au directeur général de garder à l’esprit que l’enquête contre l’appelant (Facebook et WhatsApp) est en cours d’examen judiciaire devant une chambre de division de ce tribunal ; et nous ordonner que l’affaire soit inscrite devant le banc de la division de la liste le 9 juillet, date déjà fixée », a déclaré le banc des vacances et a publié un avis sur les nouvelles candidatures.

Lors des arguments sur les demandes, l’avocat principal Harish Salve, représentant WhatsApp, avait déclaré que le problème était qu’ils avaient reçu un nouvel avis le 4 juin et que la dernière date pour répondre était le 21 juin.

Il avait déclaré que la politique de confidentialité était déjà contestée devant la Cour suprême et la Haute Cour de Delhi au moyen d’un lot de pétitions et que même le gouvernement l’examinait.

L’avocat principal Mukul Rohatgi, comparaissant pour Facebook, avait déclaré que la question ici était de bienséance et qu’elle n’était pas correcte car la plus haute juridiction du pays, c’est-à-dire que la Cour suprême examine la question.

Les deux avocats principaux avaient fait valoir qu’au vu de la demande d’information de la DG dans les 15 jours suivant la réception de la mise en demeure sous peine d’astreinte, il est clair que la DG propose de prendre des mesures contre les requérants, sans attendre une décision sur les questions en suspens par le banc de division, dans un acte de dépassement du processus judiciaire, qui mérite d’être suspendu.

ASG Lekhi s’était opposé aux moyens affirmant qu’au stade de l’enquête, la fourniture d’informations ne donnerait lieu à aucune ordonnance de la CCI et que l’avis fait suite à l’enquête qui n’a pas été suspendue par la Haute Cour et qu’il ne s’agit pas du premier avis délivré à eux.

ASG Singh avait déclaré qu’étant donné qu’il existe une ordonnance légale contre Facebook et WhatsApp, ils ne devraient pas utiliser l’ordonnance de la Haute Cour et dire qu’ils ne fourniront pas les informations demandées par CCI et que les informations ne devraient pas être bloquées à ce stade.

Le juge unique avait déclaré le 22 avril qu’il aurait été « prudent » pour la CCI d’attendre le résultat des requêtes devant la Cour suprême et la Haute Cour de Delhi contre la nouvelle politique de confidentialité de WhatsApp, ne pas le faire ne rendrait pas l’ordonnance du régulateur  » pervers » ou « désir de juridiction ».

Le tribunal avait déclaré qu’il ne voyait aucun fondement aux requêtes de Facebook et WhatsApp d’interdire l’enquête dirigée par la CCI.

La CCI avait soutenu devant le juge unique qu’elle n’examinait pas la prétendue atteinte à la vie privée des personnes examinée par la Cour suprême.

Il avait fait valoir devant le tribunal que la nouvelle politique de confidentialité de WhatsApp conduirait à une collecte excessive de données et à un « harcèlement » des consommateurs pour une publicité ciblée visant à attirer plus d’utilisateurs et constitue donc un prétendu abus de position dominante.

WhatsApp et Facebook avaient contesté l’ordonnance du 24 mars de la CCI ordonnant une enquête sur la nouvelle politique de confidentialité.

En janvier, la CCI a elle-même décidé d’examiner la nouvelle politique de confidentialité de WhatsApp sur la base de reportages à ce sujet.

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